Edgar Grospiron – la motivation : l’énergie du succès
Edgar Grospiron est le skieur de bosses qui a marqué sa génération et remporté toutes les médailles. Sportif reconnu grâce à sa carrière à haut niveau et son palmarès impressionnant, champion olympique (aux Jeux Olympiques de 1992 à Albertville) et triple champion du monde, il est devenu aujourd’hui l’un des conférenciers sportifs les plus inspirants de sa spécialité. Mais aussi une référence dans les domaines qu’il connaît bien : la performance et la motivation.
Chaque année, il motive des milliers de personnes en entreprise en transmettant les clés de son succès. Ce sportif de haut niveau n’est pas devenu conférencier professionnel par hasard : coach certifié, entrepreneur et business angel, il connaît bien le monde de l’entreprise et ses exigences. Edgar Grospiron tisse des parallèles entre les enjeux de la performance qui existent dans le sport et l’entreprise, et intervient sur différentes thématiques :
- Boostez la motivation de vos équipes : La performance n’est pas qu’une question de compétence, c’est avant tout une question de motivation.
- Partir en conquête : Lorsqu’une équipe se lance dans l’aventure entrepreneuriale, c’est l’engagement, la détermination, l’état d’esprit de chacun qui fait la différence !
- Pérenniser ses performances : Ce n’est pas tout de réussir quelque chose de grand, faut-il encore faire durer le succès et maintenir la confiance en soi qu’on a accumulée. Alors, qu’est ce qui fait réussir les gens dans la durée ?
- Rebondir en temps de crise : Profitez des difficultés pour rebondir. Il y aura toujours des opportunités dans les périodes de crise. Il ne suffit pas de les voir, faut-il encore les saisir pour rebondir avec succès.
Depuis 2001, il a donné plus de mille conférences, qui ont inspiré des milliers de personnes à travers vingt pays, en français et en anglais. Ses conférences explorent les ressorts de la motivation intrinsèque d’un individu et la dynamique du groupe. L’objectif ? Aller plus loin que les grands poncifs, les “y a qu’à – faut qu’on”, les réponses toutes faites.